1. Princesse Sara, tome 2 (5/5). J'ai encore plus apprécié ce tome que le premier. Je l'ai trouvé plus abouti, moins en surface. On en apprenait davantage sur les personnages, pour notre plus grand bonheur. En plus, l'histoire se distancie un peu de celle que l'on connait. Et ce n'est pas pour me déplaire. Même si j'aime beaucoup l'histoire originale, je trouve ça plutôt intéressant de proposer quelque chose de légèrement différent (je fais ici un parallèle avec la BD Game of thrones qui n'est qu'une copie de plus du roman et de la série TV et qui aurait pu apporter selon moi un petit truc en plus afin de nous accrocher).
2. Night School, tome 1 (3.5/5). J'avoue n'avoir pas grand chose à dire à propos de ce roman. J'en ai aimé la lecture, j'ai beaucoup apprécié les personnages que j'ai trouvé attachants et même l'histoire bien que selon moi on n'apprenait pas grand chose dans ce roman et que la fin de ce tome se sentait de loin. En fait, ce que j'ai préféré, c'était "la vie" à Cimmeria, le pensionnat au milieu de nulle part où l'héroïne est envoyée. J'espère donc que dans les prochains romans, on pourra continuer à suivre l'évolution des personnages au sein du pensionnat.
3. On achève bien ... (4/5). J'ai beaucoup aimé ce roman qui dépeint la misère sociale du début du siècle. Ne trouvant pas leur place dans la société et dans le monde du travail, Richard et Gloria décident de participer à ces fameux marathons de danse qui permettent aux participants d'être logés et nourris, et pour le couple gagnant de remporter 1000 dollars. Si j'émets une réserve, c'est surtout que je trouve que les règles du marathon sont un peu expédiées et peu développées et personnellement j'aurais aimé en savoir encore plus sur cette compétition horrible qui épuisait à l'extrême les participants. Ce roman est plein de vérités ; qu'elles soient crues, cruelles ou culturelles, elles alimentent ce roman et lui donnent de la profondeur. Le dénouement final, lorsque Richard explique pourquoi il a tué Gloria, m'a particulièrement émue.
4. 1666 (4/5). Le début de ce roman m'a beaucoup marquée. L'histoire m'a tout de suite intéressée par ce côté historique : la peste décime un village anglais. La manière dont les habitants vont réagir est frappante : chasse aux sorcières et remèdes maléfiques, le paradoxe est bien là ! On cherche un bouc-émissaire, pourtant dès qu'on nous propose une solution obscure, on s'accroche à cet espoir. Folie, meurtre, suicide... Le village se retire du monde afin de ne pas contaminer les alentours et vivent reclus avec leurs maux et leur peine. J'ai adoré cette héroïne forte, qui ne se laisse pas démonter, peu sûre d'elle mais pleine de ressources. Par contre, j'ai trouvé certains passages trop descriptifs, trop lents et inutiles. J'ai même lu certaines pages en diagonale tellement je n'en pouvais plus à la fin. Dommage !
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